lundi 3 février 2014

#LesRéseauxSociaux en France en 2013

Le numérique en France
En 2013, ce sont 46 millions d’internautes. 55 % des Français disposent d’un smartphone, 27 % d’une tablette. On assiste donc à un développement des usages en ligne et à une montée en puissance des smartphones et des tablettes.

Les Français et les réseaux sociaux
 Réseaux sociaux79 % des Français sont des socionautes (5 % de plus en un an, avec 72 % d’utilisateurs actifs) mais la part n’a pas changé. C’était en effet déjà 79 % en 2012, mais cela représente plus d’internautes en raison de l’augmentation de ces derniers. Le premier enseignement marquant de cette étude est de constater un recul sur l’utilisation des réseaux sociaux par les 25-34 ans (86 % contre 91 % en 2012), et une adoption accrue par les 50 ans et plus (69 % contre 65 % un an plus tôt).

Le profil type du socionaute
C’est un profil de plus en plus proche de l’internaute moyen : 40 ans, plus féminin (52 %) que masculin (48 %). Par contre les 15-24 ans et les 25-34 ans ont un score supérieur à la moyenne des internautes français. En moyenne, les internautes sont inscrits sur 2,4 réseaux. Facebook domine toujours largement (63 %, 64 % en 2012), suivi de Google+ (33 %), Youtube (28 %). En un an on constate la montée en puissance de LinkedIn (14 %) et d’Instagram (7%) et le repli de Copainsdavant (25 %) et de Dailymotion (6 %). A noter pour Facebook une baisse du pourcentage des utilisateurs actifs pour les 15-34 ans : 77 % contre 86 % en 2012. Assiste-t-on à un début de lassitude de la part des Français ? Toutefois Facebook reste un leader incontesté car 62 % des socionautes actifs classent Facebook en tête des réseaux « indispensables ».

Une évolution des usages ?
On assiste peut-être à une évolution des usages vers moins d’intimité et plus de consommation. Harris Interactive résume cette problématique sous la formule suivante : « De la conversation à la consommation ? ». Les principaux usages en hausse sont de suivre une marque, de réaliser un achat, de rester en contact avec ses contacts et de jouer. L’étude tend à prouver que l’on veut moins parler de soi et moins commenter sur les réseaux sociaux.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire